• Pseudo : aucun
• Métier : Artiste sonore - Auteur
Compositeur - Interprète - Réalisateur
• Membre de la Sacem depuis : 1990
• Nombre d’années de carrière : 25
• Signe particulier : l’instinct
• Aime : la liberté qui procure du plaisir
• Adore : la glace au chocolat noir
• N’aime pas : viande et poisson
• Déteste : les a priori
• En 3 mots : Sensible Obstiné Chantant
Mercredi 1er août 2018
11h50, heure d'exploration
Auteur Mon rapport à l’écriture est particulier : au début j’ai commencé par définir un vocabulaire et une grammaire qui m’étaient propres. J’ai l’impression d’avoir passé tout mon début de carrière dans un apprentissage visant à définir mon propre folklore. Puis, une fois que ça m’a semblé acquis, je suis entré dans une phase de déconstruction pour me réinventer oeuvre après oeuvre ; garder la fraîcheur et la spontanéité garantes de mon trait de marque est fondamental pour moi.
Une résolution : Reprendre le sport
Un conseil : Être fidèle à soi-même
Un vœu : Dégager du temps pour moi
Libido [artistique] Je la nourris au quotidien, avec tout ce qui vient à moi et peut se révéler source d’inspiration ou matériau pour créer. Sans aucun palmarès : toute trace de vie peut être impactante, comme notre entretien ou une pièce de théâtre. J’essaie d’être perméable ; c’est une position d’attente, puis de rapidité foudroyante pour tenter de traduire une émotion en une idée. Aujourd’hui c’est un axiome majeur sur lequel je m’appuie.
Tempérance « Œuvre d’un seul tenant, où l’on évolue sans jamais se demander à quoi elle ressemble, ni à quel instant elle doit continuer ou s’arrêter (…) D’une épure courageuse et vivifiante, Temperance suggère l’idée même de son titre : une vertu cardinale chez Platon, qui consiste à rester maître de soi-même, mais aussi de ses outils. Par son usage précisément tempérant des machines, comme par sa façon de ne pas organiser sa musique par pics d’intensité, mais plutôt par lentes vagues d’émotion, Dominique Dalcan honore ainsi l’enseignement du philosophe grec, dans un paysage musical actuel souvent trop obsédé par le trop-plein. » - E. Menu
Crédit photo : Marc Chesneau
L'autrice